Comme évoqué dans notre précédent article, l’éditeur Ivan Slatkine avait subi une cyberattaque avec une demande de rançon. Ce dernier avait accepté de payer et de témoigner afin de secouer d’autres chefs d’entreprises.
Dans le reportage de la SRF ci-dessous, Steven Meyer revient sur la question, stratégique et épineuse, du paiement de la rançon : “Il faut d’abord contenir l’attaque pour éviter que d’autres appareils ou personnes ne soient touchés. Ensuite, il faut évaluer précisément les dommages, ce qui s’est passé, quelles données ont été volées. De cela dépend la question de savoir si le paiement d’une rançon est envisageable. C’est le cas pour 30 à 50 % des victimes. Ce n’est qu’alors que nous entamons les négociations avec les pirates”.
En Suisse romande notamment, d’innombrables cyberattaques ont fait la une des journaux ces derniers mois dont la très grande majorité a payé la rançon qui lui était infligée.
“Un cabinet d’avocats avec des données confidentielles, un médecin ou des institutions sociales qui se font pirater – il y a des données extrêmement sensibles en jeu, où cela devient dangereux si elles deviennent publiques. Pour éviter cela, il peut être judicieux de payer. Mais la police doit également examiner chaque cas et parvenir à la même conclusion que nous. Ainsi, nous ne devons pas assumer seuls la décision de payer les criminels”.
Du grand groupe à la plus petite entreprise, tout le monde peut être concerné. N’attendez plus pour que ZENDATA vous protège et vous évite cette question.
Retrouvez le reportage sur la SRF